Je sors de cette lecture très perplexe. Les dessins sont très bons. Les dialogues aussi. La mise en scène est splandide. Mais je ne comprends pas où ont voulu en venir les auteurs. On nous promet une plongée dans la folie de ce psychiatre à cause du Joker qu'il veut soigner (chose qu'on a déjà vu d'ailleurs). Or, le docteur Arnell est fou dès le début du livre... L'épilogue avec Bruce Wayne est intéressant mais on a le même problème. On termine, comme la première partie de l'œuvre, sur un mystère qui manque cruellement d'explication. Le tout est forcément relié et peine à convaincre. L'impression d'une incohérence totale dans l'histoire se fait clairement ressentir. Les dessins et la mise en scène sauvent, à mon sens, ce comic qui s'est perdu en route.
