Contrairement aux trois premiers tomes, on est beaucoup moins dans l’apprivoisement d’un nouvel environnement, d’un nouveau monde, avec ses propres us et coutumes. Ici, Sei essaie d’accepter son rôle de « Sainte », et cherche à s’améliorer. Son but : venir en aide au plus grand nombre sans pour autant penser à ses propres intérêts. Dans ce tome, la magie n’est plus un élément central, mais bien plus l’étiquette et la place dans la société. Je trouve que les éléments d’un manga Shojo sont bien plus présents : l’amitié entre les personnages, des questions sur son rôle au sein de la société mais aussi les relations amoureuses. Ce qui est vraiment intéressant dans ce tome, finalement, c’est qu’on en sait un peu plus sur la seconde personne invoquée et de son traitement au sein du palais royal. Visiblement, Rei a été prise ne charge par les bonnes personnes…
