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Avis des lecteurs de l'album:
2.8(13 avis)

Ça avance vite. Presque trop vite. Mais c'est sympa de croiser pas mal de personnage de l'univers valiant. C'est un crossover "léger" sans en être un. Les dessins sont sympathiques mais font le taff. L'histoire aurait mérité d'être plus approfondi. Certains passages sont vraiment rapide. Ce tome ce lis de façon rapide. Et fera plaisir au aficionados de l'univers Valiant. Pour les autres... Ça restera un tome sans prise de tête.

👍

Le caractère des personnages valiant n'est pas respecté (Archer en tête) et l'histoire sans intérêt.

👍

Une Dead Drop est une clé USB fixée dans l'espace public permettant un partage de données de manière anonyme et non connectée à un réseau informatique. Une clé USB est scellée dans un mur extérieur à l'aide de mortier à prise rapide (composé de ciment et de sable). Son nom vient de boîte aux lettres morte (dead drop en anglais), une technique utilisée par des espions pour partager des documents entre agents sans rencontre physique. Le premier réseau Dead Drops destiné au public, au nombre de cinq clés, a été lancé en octobre 2010 à New York par l'artiste berlinois Aram Bartholl, un membre du collectif new-yorkais Free Art and Technology Lab (alias F.A.T. lab). Chacun est invité à déposer ou rechercher des fichiers sur une dead drop. Il suffit de brancher un ordinateur portable sur le mur ou le support de la dead drop pour commencer à partager du contenu. Chaque dead drop est initialement vide à l'exception d'un fichier texte readme et un fichier texte contenant Le manifeste “Dead Drops” expliquant le concept du projet. Résumé : Un dangereux virus extra terrestre est détenu par de jeunes terroristes extrêmement bien organisés car se servant de Dead Drop extrêmement bien camouflées pour communiquer. Leurs intentions ne sont pas connues. X-O Manowar et Archer sont tour à tour à leur poursuite mais les attraper s’avère particulièrement difficile surtout que dans cette affaire tout n’est pas clair quant aux véritables intentions de chacun. En revanche ce qui est certain c'est qu'ils ont trente minutes pour sauver le monde. Critique : Si vous avez l’habitude de me lire, vous savez que j’apprécie beaucoup les One shots publiés par Valiant. L’éditeur excelle particulièrement dans ce domaine et War Mother, Secret Weapons, Faith and the futur force et Savage pour ne citer qu’eux en sont la preuve. Du coup quand j’ai commencé à lire des critiques sur les réseaux sociaux quand à la légèreté scénaristique de Dead drop, je ne me suis pas laissé convaincre, certain que la réussite serait là, surtout que je venais de lire Generation Gone du même auteur (vous pourrez bientôt en retrouver la review sur Indées Les Bulles), et que j’avais beaucoup aimé son travail. Malheureusement après sa lecture mon avis est relativement nuancé. Ales Kot nous plonge de but en blanc dans une course poursuite entre Aric et les terroristes et même si à ce moment on se doute que les explications viendront plus tard, c’est assez déroutant. C’est Neville Alcott qui se charge de nous donner les informations par l’intermédiaire d’une communication avec Aric . Un procédé narratif finalement assez classique. Si le scénario se montre assez intéressant, c’est plutôt sa mise en oeuvre qui pêche : À plusieurs reprises le scénariste nous fait passer d’une situation à l’autre sans transition, une façon de faire qui a clairement pour but de donner de la fluidité au titre et de faire ressentir une sorte d’urgence au lecteur. Au final j’ai plutôt eu la sensation que le titre avait été charcuté en enlevant certaines scènes qui auraient pu se montrer intéressantes pour l’avancement de l’intrigue et enlever cette impression de trop peu que j’ai ressenti en découvrant la fin. J’attendais également une coopération entre Archer et X-O Manowar mais ils ne font que se donner le relais, dommage. Malgré ses défauts, on passe quand même un moment sympa et l'immersion est immédiate, mais il ne faut pas en attendre plus. De plus, la lecture est assez rapide du fait de la faible quantité de texte. Au niveau du dessin, si les traits d’Adam Gorham sont agréables à l'œil, la multiplication des cases dans le but de donner une impression de vitesse rendent certaines planches difficiles à lire. Il est parfois nécessaire de revenir plusieurs fois dessus pour bien les appréhender. Mention spéciale à Raùl Allén qui a réalisé des couvertures absolument magnifiques pour ce titre qui sont selon moi parmi les plus belles de l'éditeur. Conclusion : À trop vouloir faire un titre au rythme effréné, le scénariste et le dessinateur se sont un peu pris les pieds dans le tapis en confondant vitesse et précipitation. Le titre est agréable à lire, la sensation d’urgence est bien présente mais la sensation de trop peu l’est plus encore et c’est dommage. Ce titre aurait mérité d’être davantage développé. Pas mal mais peut mieux faire. Thomas.

👍

Récit court mais bon... aurait mérité qq pages de plus mais c'est quand même de la.bonne lecture

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