



UNE UCHRONIE DÉJANTÉE AU CŒUR DE L’AMÉRIQUE DES ANNÉES 80, JONGLANT HABILEMENT ENTRE LES RIFFS ÉLECTRIFIÉS DES GUITARES ET LES STACCATOS IMPITOYABLES DES ARMES AUTOMATIQUES. L’AMERICAN DREAM N’EST PAS ENCORE MORT, MAIS ON VA TOUT FAIRE POUR L’ACHEVER.Début des années 80, les mafias et les gangs règnent sur les nuits new-yorkaises. Seuls remparts contre le chaos : les Fry Sherifs, qui sillonnent leur quartier à bord de leur food truck pour rendre la justice. Quand pointe le petit matin, ils changent de casquette et se mettent aux fourneaux pour nourrir les citoyens insouciants. Ed Palmer était l’un des meilleurs traders de la Darkrock Company, jusqu’à ce que son patron décide de le sacrifier pour s’éviter un procès trop coûteux, le virant pour une faute qu’il n’a pas commise et mettant un contrat sur sa tête. Désespéré, il se rend chez son père, un Fry Sherif de Brooklyn qui a fait de son enfance un enfer… mais l’homme est mort depuis plus d’un an. Tout ce qu’il lui a laissé, ce sont les clés de son food truck et son insigne.
| Catégorie | BD |
| Thèmes | Action Et Aventure / Plus (...) |
| Type | album simple |
| Collection | - |
| Auteurs | Nicolas JarryLaura CeruttiEdoardo Audino |
| Editeur | Oxymore Eds |
| Tome | 0/1 |
| Date de parution | 17 sept. 2025 |
| ISBN/EAN | 9782385611088 |
| Nombre de pages | 124 |
| Poids | 838 gr |
| Format | 21.3 x 31.9 x 1.5 cm |
Une lecture qui m’a fait passer un bon moment sans me prendre la tête. L’histoire est assez folle pour accrocher dès le début, et j’ai aimé suivre ce délire sans chercher plus loin. Les dessins sont vraiment agréables et rendent l’ensemble fluide. Si un second tome sort, je le prendrai (...) Voir le commentaire
Une bonne surprise, on ne s’ennuie pas une seconde. Un peu trop caricatural à mon goût mais ça n’empêche pas de passer un très bon moment.
Parti sur cette lecture alléché par une couverture efficace et référencée dans le cinoche des 80’s, je tombe sur un très surprenant polar cynique et diablement mené dont l’ambition se cale sur les rails d’un certain Il faut flinguer Ramirez, excusez du peu! Sous un format généreux à la tranche (...) Voir le commentaire