Le joker sort de l’asile d’Arkham. Un petit truand , Johnny, va le récupérer à sa sortie et l’accompagner pendant quelques temps … ——//- En partant de ce synopsis simple , Azzarello et Bermejo nous plongent dans l’univers violent, fou et insensé du joker. Les éclats de violence sont bruyants, brutaux , imprévisibles ; Ce tome est de plus graphiquement incroyable : toutes les pages sont des tableaux , Bermejo use et abuse des angles de caméra et notamment des contre-plongees et gros plans pour renforcer le sentiment de folie permanente et la présence écrasante du Joker. Une lecture Black Label captivante ; par contre il faut plus voir ça comme un tour de manège à sensation que comme une histoire vraiment structurée. Le format Nomad de @urbancomics est top encore une fois pour ce récit ; on peut découvrir un récit hors continuité, assez particulier , pour un prix très raisonnable. ————- Vous aimerez si : Vous avez toujours eu envie de faire le tour de Gotham avec le joker , si vous aimez les dessins de Bermejo, si les récits craspecs c’est votre truc , si l’humour du joker c’est votre type d’humour —————-/ A éviter si : Vous voulez un récit d’aventure , une enquête etc …
Un comics qui se veut grand par les noms sur la couverture, par le personnage principal mais qui finit par ne rien apporté de grandiose … Les dessins de Bermejo sont beaux mais je ne suis pas fan de son trait. Et le scénario se résume à « Je suis le Joker, je fais ce que je veux et ça n’as aucun sens » avec quelques cameos digne des plus grandes productions hollywoodiennes. Ça n’as pas était un calvaire pour autant, mais heureusement qu’il est en format nomad car je n’aurais jamais pris ce récit à plus de 10€.