Nous faisons la connaissance du prince Eolio, qui ma foi, me semble tout aussi énigmatique que ton père, le Roi "de la vie et de la mort". Mon avis qest qu'il y a anguille sous roche ! Cependant, il est a noter que l'accent est mis sur Tetia sur ce début de volume. Cela fait du bien d'avoir de nouveau des passages centrés sur les autres petites sorcières, comme ce fut le cas pour Agathe dans le tome précédent. La deuxième moitié est axée sur Dagda, dont le destin funeste est de revivre sa dernière journée. Sort qui est vain car son destin est déjà tout tracé. Petit bémol car même si la remise en question du système magique devient plus sérieuse et sombre depuis quelque temps, j'ai noté que certains revirements de personnages sont assez brusques. L'ambiance est certainement posée, les doutes sont montrés mais les réactions sont parfois très surprenantes. Par exemple, en toute dernière page : Coco n'arrive plus à dessiner ses pentacles. Cela est sûrement dû à son mental et sa remise en question, mais ce n'est que mon interprétation. Comment ce la se fait-il que le fait d'avoir du mal à dessiner des pentacles ne soit pas introduit ? Alors que c'était le sujet des chapitres précédents : créer des artefacts magiques comme le cerf-volant pour la fête ou Gustas. Peut-être que ce sera expliqué plus tard, à suivre !
