

Le livre fermé, il reste en mémoire de très belles images et un récit envoûtant. Lamour, l’art et la solitude. On pense au film de Tony Scott "les prédateurs ", où a Patrick Süskind avec le roman « Le parfum ». Les aquarelles magnifiques soutiennent l’histoire avec brio.
Avec Yannick Corboz, le lecteur BD n’est jamais déçu. Et c’est encore vérifié avec l’adaptation du voleur d’amour. Le livre lui même est superbe, un beau travail de l’éditeur au service d’une belle histoire. L’histoire a des faux airs du « parfum » ou de Dracula, mais offrant une version dérivée sur (...) Voir le commentaire