Un album qui se laisse lire, avec un scénario certes plus faible que les précédents mais qui tient la route. Les personnages sont un peu moins travaillés, mais on devient indulgent suite à la qualité de la série. Les dessins sont de très bonnes qualités. Je l'ai quand même apprécié et ce Morogg est un vrai meneur d'hommes qui je pense aurait mérité un peu plus de temps de vie sur la série, on aimerait en apprendre davantage sur ce personnage. En tout cas j'ai quand même passé un bon moment.
Morogg, le chasseur humaniste Cette histoire d’Orcs est Gobelins se lit aisément comme un volume autonome. Dans ce tome, on découvre la rivalité entre les tribus Orcs et la sauvagerie qu’ils déploient entre eux pour réduire en esclavage les plus forts. Dans ce tome, on découvre un passage entre les terres d’Arran et les terres d’Ogon. Un passage assez dangereux, qui le sera peut-être moins à la fin du tome. Dans ce volume, on ne distingue pas dans la trame de liens avec une histoire plus globale. On découvre quand même qu’il y a des Orcs en terres d’Ogon. Ce tome, qui se déroule essentiellement dans la nature manque à mon goût de belles grandes planches. Quand même deux assez belles. Mais j’en aurais apprécié plus. L’histoire reste sinon dans la veine de la série et c’est pour cela qu’elle mérite ces 5 étoiles. Bonne lecture.
Rattrapage toujours en cours, avec ce tome de Orcs et Gobelins. Bon, ben ce ne sera pas mon préféré de la série, c'est clair... Tout n'est pas mauvais dans cet opus loin s'en faut, j'ai tout de même passé un bon moment mais on est loin de ces premiers albums exceptionnels qui m'avaient mis une belle claque... j'ai trouvé l'histoire peu intéressante et plutôt plate, les personnages sont sympathiques mais moins travaillés qu'à l'accoutumé. Heureusement, le dessin est toujours aussi classe, ce qui permet de faire passer les faiblesses du scénario ♥️. Bref vous l'aurez compris, déçu plus que conquis par ce tome de Orcs et Gobelins