✍️ CritiKomics se penche sur Ultramega, aux Éditions Delcourt. 🙆♀️🙋♂️ Los artistas : James Harren au scénario et au dessin (Rumble, BPRD) et Dave Stewart à la colorisation (Hellboy, BPRD). Du lourd quoi. ❓️ Le pitch : Un fléau transforme les habitants de la planète en Kaijus (ces montres géants dans la culture nippone). Seuls les 3 Ultramegas peuvent les déceler et les combattre. Ces guerres pour sauver l'humanité détruisent des villes entières et laissent les populations dans un univers apocalyptique. Mais sont-ils assez forts pour gagner ? ✍️ Le dessin : le style de Harren rappelle parfois Spawn avec ses monstres qui sortent d'on ne sait pas où ! On reconnaît les influences manga, mélangées au style Comic avec une touche BD traditionnelle. C'est parfois enfantin, parfois brouillon, souvent gore. La mise en page est géniale et les couleurs apportent un peu de chaleur à ce récit Ultra(hihi)Violent. 💰Ça vaut quoi ? Harren ne perd pas de temps et balance les hostilités dès la première case ! On va croiser plein de personnages dans cet horrible univers, et l'auteur va avoir un malin plaisir à nous induire en erreur sur qui est véritablement le personnage principal de cette histoire. Ultramega balance sévère au niveau de la violence et des destinées tragiques. Les combats ici sont bourrins, charnels, on est clairement pas chez Marvel et c'est tant mieux ! C'est quelquefois assez dégueu (tu vas en bouffer de l'asticot). C'est un récit adulte camouflé derrières certains dessins enfantins. Et les gentils vont morfler ! Ah on est clairement pas dans la bienveillance des héros, et c'est un réel plus pour le réalisme de l'histoire Le chapitres se terminent toujours sur un cliffhanger mortel ! On ne s'ennuie pas, il y a de l'action et les auteurs ont de toute évidence encore plein de choses à nous raconter. Une belle découverte, trouvée sous le sapin de Noël. Merci Mme CritiKomics 🤩 Verdict ⛅️ Scénario ●●●○ Action ●●●● Dessins ●●●○ Émotions ●●○○ Ma note : ●●●○ La scène 🙆♂️🙆♀️🙆 : Je t'attrape par les côtes ! ⭐️🌞🌤🌦🌧🌩 ●●●● Excellent ●●●○ Très bon ●●○○ Sympa ●○○○ Mouais bof ○○○○ WTF ! #ultramega #jamesharren #davestewart Éditions Delcourt #critiKomics
✔ : Avec Delcourt, le fan de super-héros, de Super Sentai et de kaiju que je suis se régale. Ces genres pourtant très codifiés ont droit à des récits leur rendant hommage tout en les modernisant et les assombrissant (Invincible, Radiant Black). Fini les histoires un peu kitsch pour enfants, maintenant on est servi en démembrement, sang, viscères mais aussi des thématiques plus adultes comme l'intégration, la parentalité, les problèmes d'argent et ce que traite ce T.1 d'ULTRAMEGA, la légitimité du héros et ses responsabilités. En plus de ces questionnements profondément humain, on a droit à des graphismes qui défoncent ! A la croisée entre du @ryanottley et du @danielwarrenart (WW Dead Earth), Harren et Stewart nous livrent des planches fantastiques, mettant en scène des combats violents et dynamiques, avec une très bonne gestion du gigantisme et des couleurs... 👌👌 qui ressortent parfaitement grâce au choix du papier. ❌ : Malheureusement j'ai trouvé le rythme un peu inégal. Le livre est séparé en 4 gros chapitres, le premier démarre sur les chapeaux de roues, on en prend plein les yeux, ça passe très très vite PUIS plus grand chose jusqu'au chapitre 4. J'ai vraiment eu l'impression de lire une 2e longue introduction après le 1er chapitre et en soit c'est le cas mais après un démarrage aussi sec, je ne m'attendais pas à ce que ça ralentisse aussi brutalement. ⏩ En soit, j'ai beaucoup apprécié cette lecture dans sa globalité, c'est beau, les thématiques me parlent et me plaisent et ça se lit relativement vite. Mais c'est vrai qu'au milieu du bouquin je me suis un peu demandé où ça voulait aller, tant le 1er chapitre m'avait procuré une sorte d'adrénaline qui est retombée jusqu'au dernier chapitre. Heureusement, le tome se termine sur une note intéressante et propose de très bonnes pistes pour la suite ! https://www.instagram.com/p/Cp3EpCKNbW_
Une super découverte : Cette jolie couverture aux couleurs atypiques a tout d'abord attiré mon oeil. J'ai ensuite été séduit par le ton donné dès les premières pages de l'album, tant par la narration, la colorisation, ou que par le dessin qui est vraiment très bon. C'est sombre, parfois drôle, parfois touchant, souvent très très violent. J'ai beaucoup aimé ce premier tome !
Coup de cœur immédiat: dessin hargneux à la fois technique et original dans son aspect organique, narration complexe et envie de moderniser le récit de Kaiju sur le modèle de l'excellent CODA. Excellent album et début d'une possible très grande série.
C est bien mais on me l avait tellement vendu sur first print que pour le coup je m attendais à beaucoup mieux. Reste que pour tous ceux et celles qui ont grandi avec ultraman et les power rangers, cette version 'réaliste' plus sombre est très sympa à lire. J attend de voir la suite en espérant une montée en puissance maintenant que l introduction est faite.
🧔chronique complète sur : https://www.mtebc.fr/ultra-mega-james-harren/ Toutes nos chroniques sur : https://www.mtebc.fr/ 🖊Un virus se propage sur terre transformant les êtres humains en Kaijus. Choisi par une entité cosmique, Jason devient UltraMéga, un guerrier géant et surpuissant dont l'objectif est de lutter et d'annihiler les monstres qui envahissent la planète. Mais cette nouvelle mission n'est pas sans s'accompagner de son lot de souffrance, surtout quand le passé refait surface en risquant de détruire la planète entière. 📚UltraMéga de James Harren ne laissera personne indifférent. Radical, sombre et violent, l'auteur américain propose une oeuvre sans concession qui nous montre l'horreur des combats comme jamais. Pur récit d'action, il n'en délaisse pas pour autant ses personnages, des figures héroïques désespérées face à une menace trop puissante pour eux. Si ce n'est pas la première fois que des auteurs américains nous montrent que la tache de héros peut être un fardeau, jamais cela n'a été aussi concret que dans UltraMéga.
Très sympa au début, mais beaucoup trop long. J'étais soulagé une fois arrivé à la fin de l'album
