







Avec Moi, René Tardi, prisonnier de guerre - Stalag IIB, Jacques Tardi concrétise un projet mûri de très longue date : transposer en bande dessinée les carnets de son propre père, rédigés des années durant sur des cahiers d’écolier, où celui-ci tient par le menu la chronique de sa jeunesse, en grande partie centrée sur ses années de guerre et de captivité en Allemagne. Après avoir, comme on le sait, énormément travaillé sur la guerre de 14 – 18, c’est la première fois que Tardi se penche d’aussi près sur la période de la Seconde Guerre mondiale. Ce faisant, il développe également un projet profondément personnel : en mettant en images l’histoire de son père militaire, Tardi explore rien moins que les racines, les origines et les ressorts de sa propre vie. Ce « roman familial » prend des accents d’autant plus intimes que Tardi a associé au projet deux de ses propres enfants, Rachel (qui assure la mise en couleur) et Oscar (documentation et recherches iconographiques). Cet ouvrage s’annonce d’emblée comme l’un des événements bande dessinée de la fin d’année. Jamais sans doute Tardi ne s’était autant livré dans l’un de ses albums
| Catégorie | BD |
| Thèmes | Récit Historique / 2nd Guerre Mondiale/ Plus (...) |
| Collection | - |
| Auteurs | Jacques TardiRené Tardi |
| Editeur | Casterman |
| Tome | 1/3 |
| Date de parution | 17 nov. 2012 |
| ISBN/EAN | 9782203048980 |
| Nombre de pages | 192 |
| Poids | 1340 gr |
| Format | 24.4 x 32.0 x 2.2 cm |
5 étoiles, mais je ne suis pas objectif, je suis un inconditionnel de Jean Tardi. J'adorerai le rencontrer, et plus encore, je souhaiterai que son talent soit encore plus reconnu. Je detesterai voir des rétrospectives quand il ne sera plus. C'est maintenant qu'il faut le célébrer, lui dire qu'il (...) Voir le commentaire
Tardi nous parle de la seconde guerre mondiale toujours aussi magistralement avec les hommes victimes toujours en premiers plan. Ici il s'agit de l'histoire de son père, prisonnier de guerre en Allemagne dans un camp. Témoignage fort faisant écho chez moi à mon grand-père qui a été aussi prisonnier de guerre en (...) Voir le commentaire