











Le silence est d'or.Stolin est un jeune homme de 16 ans placé dans le monastère de Nariamar par des parents incapables de le prendre en charge. Dans ce lieu clos où le silence est sacré, les moines confirmés ont la bouche cousue et passent leur temps à recopier des livres contenant les saintes écritures. Stolin supporte douloureusement ces contraintes... Aussi, lorsqu'il découvre le livre profane d'Ernao Piranesi, il ne peut s'empêcher de le subtiliser pour le lire à voix basse dans sa cellule. Les mémoires du vieux moine commencent 50 ans plus tôt. À l'époque où le baron Ytrium, vainqueur d'une bataille sanglante contre des hérétiques, décide d'enfermer les survivants dans les geôles du monastère où Ernao est intendant. L'un des prisonniers va alors se retrouver au centre d'un débat dont les proportions ne cesseront de s'amplifier. Pour certains, il se nomme Ciimon Bracchio et n'est qu'un simple d'esprit, arrêté par erreur lors de la débâcle. Pour les autres, il s'agit du redoutable Darst Vostri, meneur charismatique et dément d'un groupe d'intégristes semant partout l'hérésie depuis des dizaines d'années. Lequel de ces deux partis obtiendra justice? Et qui se cache derrière cet étrange personnage inspirant les sentiments les plus contradictoires?Quelque part entreLe Nom de la RoseetUsual Suspects, Jean-David Morvan compose dans les pages duMoine Mortun monde sombre et violent propulsé par le graphisme puissant de Scietronc. Une histoire en trois tomes.
| Catégorie | BD |
| Thèmes | Historique / Religion/ Plus (...) |
| Type | album simple |
| Collection | - |
| Auteurs | Jean-David MorvanScietronc |
| Editeur | Glénat |
| Tome | 1/2 |
| Date de parution | 24 mars 2021 |
| ISBN/EAN | 9782723490955 |
| Nombre de pages | 48 |
| Poids | 610 gr |
| Format | 24.0 x 32.0 x 1.1 cm |
Rien de révolutionnaire, mais c’est plaisant ! Et cela augure de belles choses à venir. Mention spéciale pour le dessin
une série qui vaut le coup d'oeil au moins pour le dessin de scie tronc. Morvan est un vrai dénicheur de talent et si pour le moment le scénario ne décolle pas vraiment , on reste quand même intrigué pour la suite
Le récit prend la forme désormais classique du narrateur monastique modèle Le Nome de la rose qui témoigne de la croisade fondamentaliste d’une Église imaginaire mais bien inspirée du pire de notre Histoire. Sous des pinceaux réellement inspirés du jeune ScieTronc (qui avait déjà impressionné sur le premier Boris Vian, (...) Voir le commentaire