




Devant une fois de plus jouer le bon samaritain, Lucky Luke se retrouve à l'improviste sur une selle de vélo, pédalant comme un fou pour aider Albert Obermann à mener sa création à bon port jusqu'à San Francisco. Le fabricant veut profiter d'une course cycliste locale pour séduire les citadins avec son tout nouveau deux-roues révolutionnaire. Mais le voyage de Lucky Luke ne sera pas de tout repos : bandits sans scrupule, ploucs bornés et Indiens méfiants n'auront de cesse de lui mettre des bâtons dans les roues
Un hommage bien déboussolant. Les dessins sont moches. Tout est dans la caricature, même Jolly Jumper termine l histoire obèse. Pauvre Morris….
Ouf… du cabotinage pur et dur. L’album Jolly Jumper ne répond plus avait plein de références et était très drôle, ici… c’est n’importe quoi.
Autant Bonhomme et Bouzard ont livré une version de Lucky-Lucke apportant un réel intérêt autant que cet album je trouve que hormis le dessin Mawil n'apporte pas grand chose d'inovant au personnage. L'album reste plaisant à lire mais sans grand intérêt je trouve.