





L'empereur Augustus a cessé de vivre. Désormais, c'est au tour de Tiberius de régner sur Rome. Présent à ses côtés, Seianus est censé l'aider à asseoir sa domination sur la Ville éternelle. Mais la grandeur de Rome est fragile. Dans l'ombre, un complot se trame. Les conspirateurs, au nombre de sept, se surnomment les Liberatores ? les Libérateurs. Seianus est l'un d'eux et il compte sur la belle Morphea pour parvenir à ses fins. Arminius, lui, rêve de soumettre l'orgueilleuse cité à l'autorité de son peuple de Germains, les Chérusques. Marcus, son frère de sang et ami d'enfance, a rompu avec Arminius car il lui reproche d'avoir trahi Rome. Lui n'a qu'une obsession : retrouver son fils... Sixième volet d'une série qui donne à voir l'empire romain sous un autre jour, entre conquête du pouvoir, cruauté et ambitions personnelles, le tout teinté d'érotisme et de violence. Marini, au sommet de son art, signe le scénario et le dessin de cette saga pleine de bruit et de fureur, qui associe le souffle de l'histoire à celui de la grande aventure.
| Catégorie | BD |
| Thèmes | Récit Historique / Plus (...) |
| Collection | - |
| Auteurs | Enrico Marini |
| Editeur | Dargaud |
| Tome | 6/8 |
| Date de parution | 06 oct. 2023 |
| ISBN/EAN | 9782505122609 |
| Nombre de pages | 88 |
| Poids | 758 gr |
| Format | 24.3 x 32.1 x 1.3 cm |
Apres une absence interminable on retrouve enfin Falco et Arminius. Ce 6ème tome annonce le noiveau cycle. Il ne s'y passe pas grand chose, mais ça fixe le décors et les protagonistes, et on sent venir la tempête. Vivement la suite! Un bémol cependant. Le trait est moins précis et les (...) Voir le commentaire
Le dessin est toujours aussi agréable, mais le scénario est un peu en dessous des débuts car finalement il ne se passe pas grand chose… espérant que le T7 renouera avec la qualité des 5 premiers
Ce tome annonce l’arrivée d’un nouveau cycle. Sur une histoire qui aurait pu être terminée. Syndrome Le Scorpion ? Le dessin est agréable bien que moins précis que d’habitude. Qui ressemble à des aquarelles à certains moment. Je regrette par contre toujours, comme souvent chez Marini, des scènes de sexe, qui (...) Voir le commentaire