🎄 Livraison avant Noël : commandez vos albums en stock avant le 17 décembre 23h59 ⏰
🍪
Gestion des cookies
Nous utilisons des cookies pour suivre les statistiques de visite, améliorer le site et vous proposer du contenu personnalisé. Sans les cookies optionnels, seuls ceux requis pour le fonctionnement de base seront conservés.
Le village de St Jean-en-Aven est en deuil. Deux corps ont été découverts près du presbytère : ceux de Marcel Grange dit « le lièvre », facteur de son état, et d'Augustin chaudron, l'artiste de la région. Les deux compères se seraient jetés du pont qui surplombe le village. Une chute de 468 mètres. Ce pont, construit en 1947, a la triste renommé d'attirer les candidats au suicide. Au fil des années, le village est même devenu une attraction macabre. Cependant, jamais depuis le début des « grands plongeons », un villageois n'avait franchi le pas. Le choc est donc immense. La gendarmerie, lasse, s'est déchargée de cette énième enquête de suicide en passant le relais à la PJ de Paris. Un inspecteur va être dépêché sur les lieux. Mais la veille de son départ, ce dernier est blessé par balle lors d'une interpellation musclée. C'est donc son co-équipier qui le remplace au pied levé. Léo Walec, jeune policier de 25 ans, arrive donc par une chaude après midi d'été, dans la vallée encaissée, sans savoir grand chose de l'affaire