Le scénario est d’une qualité impressionnante. Chaque personnage a ses défauts, ses qualités. Le lecteur peut s’identifier aussi bien aux Renégats menés par Peter Stanchek qu’à la fondation Harbinger de Toyo Harada (censée être le grand méchant). Les 25 chapitres forment une unité étonnante, Joshua Dysart maitrise son sujet.