Le pitch de Chainsaw Man de Tatsuki Fujimoto ? Dans un monde où les démons sont monnaie courante, Denji, jeune homme ultrafauché et couvert de dettes survit en travaillant comme chasseur de démon avec Pochita, un chien démon-tronçonneuse qu’il a recueilli. Jusqu’au jour où il est tué. Mais cette mort lui offre l’opportunité de fusionner avec Pochita, et de devenir un homme maudit, un démon tronçonneuse.
Recruté par l’organisation gouvernementale qui chasse les démons, il rejoint une unité constituée de cas spéciaux comme lui. Mais rapidement, une série de menaces qui le vise très directement apparaît…
Un tome 5 bourré de rebondissements
Depuis le lancement de la série en France, en mars 2020, Chainsaw Man ne déçoit pas, arrivant toujours à enchaîner les surprises et les rebondissements.
Ce tome 5, continue sur cette lancée : personnages aussi fous que bizarrement attachants, combats épiques, démons parfois horribles et parfois totalement loufoques. Avec un héros obsédé mais aux élans romantiques totalement soudains et improbables : on a là un concentré de ce que le Japon peut produire de plus « mangaesque ». Comme si tous les éléments qui plaisent aux adultes qui lisent des shōnen avaient été soigneusement sélectionnés, mais poussés à 150% de leur teneur habituelle. Un beau délire, dans lequel il est encore largement temps d’embarquer.
Image principale : © Tatsuki Fujimoto, éditions Kazé