Plein de nostalgie, de tendresse et d’optimisme, Grégory Panaccione se lance pour la première fois dans une adaptation de roman : Quelqu’un à qui parler de Cyril Massarotto.

Premier tome enthousiasmant pour cette nouvelle série adolescente, scolaire, réaliste et sociale qui suit l’émancipation d’un groupe de jeunes filles solitaires.

René est un enfant à part, différent, rêveur. À la recherche de son doudou lapin, le voilà parti dans une quête initiatique sans précédent, à la croisée des contes et de l’onirisme.

13 ans après ses débuts dans la bande dessinée avec la sortie de l’adaptation en livre de son blog à succès lancé un an plus tôt, Pénélope Bagieu se remet à l’autobiographie.

Hasard du calendrier, quelques mois à peine après la sortie du premier tome de La fête des ombres, l’Atelier Sentō publie un nouvel album, côté scénario cette fois-ci.

Après avoir abordé le thème de l’inceste de manière détournée dans Ivalu, le danois Morten Dürr explore un nouveau fléau social : la violence intra-familiale.

Après avoir remporté le Prix Jeunes adultes au festival international de la BD d’Angoulême, Akiko Higashimura est de retour avec deux nouvelles séries !

Un très bon polar noir au rythme enlevé et à la narration cinglante qui décrit la montée en puissance d’un jeune campagnard devenu gangster. Glaçant !

Après un mois de mai léger dû à la reprise d’activité post-confinement, les éditeurs ont proposé de bien belles sorties au mois de juin. Voici notre sélection.

Vous vous souvenez de Code Lyoko, cette série aux graphismes 3D trop stylés, où une bande de lycéens se matérialisait dans un monde virtuel grâce à une mystérieuse machine ?

Taiyô Matsumoto occupe une véritable place à part dans l’industrie du manga au Japon, il est l’un des rares mangaka dont le trait est immédiatement identifiable, quel que soit le genre abordé. Aussi à l’aise dans les scènes d’actions –sportives ou guerrières- que dans la chronique intime et les moments poétiques, rien ne semble impossible à cet artiste au style incroyable.