Si vous tombez sur cet article, c’est que vous avez trouvé l’un ou l’autre des messages cachés dans ce dossier Lapinot-verse. Si vous êtes tombés là par hasard, vous pouvez revenir au sommaire de ce dossier autour de Lapinot de Lewis Trondheim, publié à l’occasion de la sortie du Chapeau maudit.
Tout commence dans Les Carottes de Patagonie [on en parlait ici], à la planche 432 où on peut déchiffrer dans une invocation magique (avec un miroir), un enchaînement de bulles « Le caché message » / « Celui case 6 n’est pas » / « Ailleurs il est ».
Et depuis cette planche, tous les albums de Lapinot (sauf un, 31 juillet, m’a précisé Lewis Trondheim à la lecture de ce dossier pour sauver quelques lecteurices acharné.e.s) ont un message caché. Et certains sont tellement durs qu’ils n’ont jamais été trouvés, du moins à sa connaissance (et celle des forums où les lecteurices se sont amusé.e.s à échanger leurs infos). J’ai passé plusieurs soirées à chercher sans tous les trouver, mais avec quelques découvertes sympa. Je ne dévoile pas les emplacements pour que vous puissiez jouer, mais quelques réflexions en guise d’indices ci-dessous.
Il y en a des simples, des lettres à remettre dans le bon sens ou à assembler dans le décor ou dans les livres qu’on va croiser dans les premières aventures. Il y en a ensuite des complexes écrits en morse, tagués ou conçus avec des pictogrammes ou des symboles. Il y en a un très symbolique « le message caché FIN » dans l’ultime aventure de Lapinot avant que le dessinateur relance son personnage dans un autre univers [les explications ici si vous aviez manqué le début].

Bref, vous avez de quoi jouer un moment, surtout qu’en vérité, il y en a aussi dans d’autres albums, comme dans Approximativement où l’avatar de l’auteur regarde une planche sur son bureau avec ce message caché — une planche de Lapinot ?
Vous en avez trouvé ?
Dites-nous en commentaire les albums où vous les avez trouvés sans indiquer où (ou alors sous forme d’indices).
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Image principale : Extrait de la couverture de l’album Midi à quatorze heures © Lewis Trondheim / L’Association













