Critiques (3040 articles)

Entre le théâtre et le one-man-show, le rakugo prend vie sur scène. Un homme, seul, à genoux, y raconte une histoire à plusieurs voix dans une mise en scène minimaliste.

Le magicien le plus cool de la littérature dessinée revient en force après une longue absence où il n’avait plus vraiment de série régulière. Deux ouvrages chez Urban pour retrouver John Constantine en forme.

Un très bel album qui interroge les choix de vie, et les mensonges que l’on se raconte.

1635, Edo. Après l’unification du Japon, le métier de shinobi devint rare et changea de perspective. De nombreux ninjas désœuvrés s’embourbèrent dans la criminalité.

Avec sa couverture à la fois poétique et mélancolique, Lettres Perdues attire l’oeil en librairies. En ouvrant l’album, on tombe sur une explosion de couleurs et des paysages à tomber par terre.

« La baleine blanche des mers mortes » propose un univers onirique et fascinant, qui pourrait séduire plus d’un public.

Manga phénomène de cette rentrée 2021, Kaiju n°8 est lancé en grande pompe par son éditeur avec pas moins de 250 000 exemplaires tirés pour son premier tome !

Mathieu Lauffray n’en avait pas fini avec les pirates, le dessinateur prolonge son voyage avec les frères de la côte en suivant deux nouvelles têtes brûlées Raven et Darksee.

Avant la sortie de Beastars, Paru Itagaki avait déjà publié des histoires courtes mettant en scène des animaux anthropomorphes. Les voici regroupées dans ce premier tome.

Huit ans qu’on l’attendait, ce nouveau Blacksad ! Alors, l’attente valait-elle le coup ? Bien évidemment.

Sorti quelques jours avant l’été, ce nouveau one-shot de Shin’ya Komatsu fait partie de ces lectures pleines de vie et de fraîcheur qu’il est bon de savourer au soleil.

Avec ce 4e volume (sur 6 de prévus) la série de Gaet’s et Julien Monier prend un tournant qui surprend & ravit avec les pièces d’un puzzle géant qui s’emboîtent depuis plus de 400 pages. Où chaque personnage laisse sa place à un autre et commencent ensemble à dessiner un beau portrait final.

On croyait que les sorcières avaient disparu de la surface de la Terre, mais il n’en est rien. Elles servent les dirigeants fortunés et influents de ce monde.

Dispersés dans Babylone, nous n’irons pas voir Auschwitz, Si je t’oublie Alexandrie… Avec ses précédentes œuvres, Jérémie Dres a montré qu’il était un auteur de BD explorateur. Et ce constat se confirme avec sa dernière bande dessinée en date publiée chez Delcourt, intitulée Le jour où j’ai rencontré Ben Laden.

Explorer la jeunesse d’Arsène Lupin ? C’est ce que Rue de Sèvres proposait dès 2014, avant que la série télévisée Lupin ne remette le personnage au goût du jour. Trois tomes plus tard, c’est une belle intégrale que l’éditeur publie aujourd’hui.